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A l’Alcazar neuf, où don JaymePaul-Jean Toulet

A l’Alcazar neuf, où don Jayme
Gratte un air maugrabin,
Carmen dansant dans son lubin :
Ce n’est pas ce que j’aime.

Mais, à Triana, la liqueur
D’une grappe où l’aurore
Laissa des pleurs si froids encore
Qu’ils m’ont glacé le coeur.

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Publié dansPaul-Jean TouletPoètes

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