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On descendrait, si vous l’osiezPaul-Jean Toulet

On descendrait, si vous l’osiez,
D’en haut de la terrasse,
Jusques au seuil, où s’embarrasse
Le pas dans les rosiers.

D’un martin pêcheur qui s’élance
L’éclair n’a que passé ;
Et la source ; à son pleur glacé,
Alterne un noir silence.

L’Angélus, dans le couchant roux,
Comme un parfum s’efface.
Lilith, en détournant sa face,
A tiré les verroux.

Contrerimes

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Publié dansPaul-Jean TouletPoètes

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