Aller directement au contenu

Le mouvementAndree Chedid

Forge le contraire de ce monde
Où l’âme perd rumeurs
Où le temps nous tarit

L’homme périt de son propre venin
Mais s’élève dans la lueur qu’il esquisse

Enfante-toi
Enjambe-toi

Dénoue le mouvement

Attise cette parole

qui ne se détourne pas des hommes

mais s’ébauche vers eux.

Lectures : 1
Publié dansAndree ChedidPoètes

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *