Au loin
Sous l’explosion des armes
Les terres ne cessent de gémir
Les cris de la bête
Lacèrent les saisons
Le corps s’arrête
Le sang durcit
Visages et mains stagnent
Sous les plis de la mort
Ici
Enlacé d’ombres vertes
Et de fêtes
Le plaisir
Ruisselle
Sur les épaules de l’été.
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