Quand l’aube s’éprend de la ville
J’émerge des linges de l’absence
Je fracture les serrures du temps
J’échappe au cerne des mots
Quand l’aube s’éprend de la ville
L’avenir élève ses arches
La mémoire tire braises de l’ombre
Vivre innove le logis.
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