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FermentAime Cesaire

Séduisant du festin de mon foie ô
Soleil

ta réticence d’oiseau, écorché, roulant.

L’âpre lutte nous enseigna nos ruses,

mordant l’argile, pétrissant le sol

marquant la terre suante

du blason du dos, de l’arbre de nos épaules

sanglant, sanglant

soubresaut d’aube démêlé d’aigles.

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Publié dansAime CesairePoètes

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