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Les fleuves ne sont pas impassiblesAime Cesaire

même tabac cette grande balafre à mon ventre ou ce fleuve en plein cœur

seul réveil la parole des ressauts

mal débité ce sang le courage n’est pas de remonter le regard s’égare vers le bas aux vasières que fixe seul hagard poto-poto des
Calabars le pied des palétuviers

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Publié dansAime CesairePoètes

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