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Déroute de la dérouteAlain Jouffroy

Fouaille dans l’épouvantail, fécal fanal, pie ! Égosille-toi dans les charbons ardents !

Lucider remonte, hirsute, la pente du cogito
Pointe sa langue hors de la gueule de la conscience
Népal de la survie, poussier de savoirs — gâche tout

Ostrogodi du gouvernail horrifie la maligne
Comtesse d’O
Fustige le sens du sens —
Aie !

Charbonnier de la mort fait fi du poids du cœur
Et obsède
Assurbanipal, toute ma troupe, du destin de
Kleist et d’Otto
Weininger

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Publié dansAlain JouffroyPoètes

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