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PantoumLouisa Siefert

Au clair soleil de la jeunesse,
Pauvre enfant d’été, moi, j’ai cru.
Estil sûr qu’un jour tout renaisse,
Après que tout a disparu ?

Pauvre enfant d’été, moi, j’ai cru !
Et tout manque où ma main s’appuie.
Après que tout a disparu
Je regarde tomber la pluie.

Et tout manque où ma main s’appuie.
Hélas ! les beaux jours ne sont plus.
Je regarde tomber la pluie…
Vraiment, j’ai vingt ans révolus.

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Publié dansLouisa SiefertPoètes

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