Aller directement au contenu

Quelquefois…Paul-Jean Toulet

Quelquefois, après des ébats polis,
J’agitai si bien, sur la couche en déroute,
Le crincrin de la blague et le sistre du doute
Que les bras t’en tombaient du lit.

Après ça, tu marchais, tu marchais quand même ;
Et ces airs, hélas, de doux chien battu,
C’est à vous dégoûter d’être tendre, voistu,
De taper sur les gens qu’on aime.

Chansons

Lectures : 0
Publié dansPaul-Jean TouletPoètes

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *