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C’est presque l’invisible qui luitRainer Maria Rilke

C’est presque l’invisible qui luit
audessus de la pente ailée ;
il reste un peu d’une claire nuit
à ce jour en argent mêlée.

Vois, la lumière ne pèse point
sur ces obéissants contours
et, làbas, ces hameaux, d’être loin,
quelqu’un les console toujours.

Les quatrains valaisans

Publié dansPoètesRainer Maria Rilke

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