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Lune d’étéAlice De Chambrier

(extrait)

… Et saistu que toimême aussi, nocturne reine,
Tu cesseras un jour de briller dans les cieux ?
Tu mourras comme doit mourir la race humaine,
Et l’ombre habitera les airs silencieux.

De toutes tes splendeurs, de tes beautés divines,
De ce rayonnement qui remplissait les airs,
Il ne restera rien qu’un chaos de ruines
Traversant égaré la nuit de l’univers !

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Publié dansAlice De ChambrierPoètes

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