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GrédeluTheodore de Banville

Naguères j’ai vu Grédelu

Représenter un jeune singe.

Au fond du grand bois chevelu

Naguères j’ai vu Grédelu.

Ce soir-là, certes, il a plu

Sans l’éclat trompeur du beau linge.

Naguères j’ai vu Grédelu

Représenter un jeune singe.
Décembre 1845.

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Publié dansPoètesTheodore de Banville

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