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J’ai vécu l’extrême réalité d’une maladieJacques Prevel

J’ai vécu l’extrême réalité d’une maladie

Comme un cancer d’une greffe de mes veillées

d’amour

Je suis peut-être la sentinelle placée au dernier

poteau

D’autres peuvent s’endormir ou sommeiller sur le

réel

Ma position est différente et je suis menacé d’un rapt

L’or que j’ai conquis fusionne

Et déborde d’une coupe légendaire

Comme celle qui est le coeur du battement

Et de l’abattement sans pitié du coeur qui doit

mourir

Et sentinelle armée d’un pouvoir qui m’illimite

Avec ce que j’ai reçu de tant de vie

Je suis le donneur de sang

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Publié dansJacques PrevelPoètes

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