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Mécanique de l’absoluJacques Prevel

Mécanique de l’absolu

Lumière qui flagelle ma face

Quand serai-je enfin libéré de ta noire désolation

Soleil frappé d’interdit

Totem d’une trahison plus totale

Et moi qui suis toujours à t’attendre

Visage diaphane ensanglanté

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Publié dansJacques PrevelPoètes

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