Un printemps magique naîtra
De l’horreur brisée
L’horreur c’était la glace sur le fer
La neige immaculée et le sang coagulé sur le fer
L’angoisse asymétrique sur nos faces
Comme un même délire obscène
Une vengeance de l’incommensurable attente
Du poison d’un impossible apaisement
Et le printemps sera comme un noyé
Décomposé par un trop long séjour
De l’inaccessible sommeil
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