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PharePierre Reverdy

Plus loin le verre blanc cassa

Les yeux au plafond se levèrent
Sur le ciel d’aujourd’hui

Un soleil faux qui luit
Un rayon dans la glace

Où mon portrait grimace
A l’envers

Et du grand livre ouvert
L’oiseau qui s’envola

Sortait d’une cage sans porte
De toute la production morte

Du premier jour qui se leva

Au nôtre il n’y a pas de place

Dans mon cœur seul vibre l’espace

Et c’est tout ce qui ne va pas

Pierre Reverdy

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Publié dansPierre ReverdyPoètes

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