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CrevasseRaymond Queneau

Du crâne qui crugit lorsque le vent souffle

suinte mélancolicolicoliquement

le croupissant cresson qui sourd de ses orbites

Crions! crions! toujours bôle l’os armature

et gémit mélodieulodieusement

le croisé des crocs qui scient un peu d’espace

Telle crevasse en la cronfusion quotidienne crécelle le sourire et creuso le bonheur

mais

qui tire la langue au crétin croquemitaine? cré nom! crois-je bien que c’est moi

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Publié dansPoètesRaymond Queneau

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