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Quelque BontéPaul Eluard

Brisant le moule de la nécessité
Le sommeil assiège le jour
Vite un abri dans la forêt
Estime de futaie ravins sentiers à la débandade
Et les pierres et les déserts les taches du soleil
Et la couleur le charbon l’air glacé
Vite l’amie ardente qui se révère mal tournée

Vite les nuits d’entente.

Paul Eluard

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Publié dansPaul EluardPoètes

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