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Ruse du cœurHenri-Frederic Amiel

Sans briser l’idole qu’on aime,
S’accuser ou se repentir,
C’est le moyen de pervertir
Notre conscience elle-même :
Mal faire en disant Peccavi !
Oh ! l’habile et fin stratagème
Du cœur rusé, du cœur ravi.

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Publié dansHenri-Frederic AmielPoètes

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