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Épitaphe d’une vieille femmeVictoire Babois

Quatre lustres et trois printemps
Ont rempli ma triste carrière.
J’ai vu mourir ma tendre mère ;
J’ai vu mourir mes deux enfants ;
Hélas ! J’ai vécu bien longtemps.

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Publié dansPoètesVictoire Babois

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