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L’oiseau d’AlideVictoire Babois

Le sort, qui des humains décide,
Sur le plus faible oiseau préside.
Voulant faire un heureux, il daigna me choisir ;
Je naquis pour aimer Alide ;
Je vécus sur son sein ; j’y mourus de plaisir.
Qui ne voudrait ainsi naître, vivre et mourir ?

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Publié dansPoètesVictoire Babois

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