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À M. de ScudéryPierre Corneille

(Sur sa comédie du trompeur puni.)

Ton Cléonte, par son trépas,
Jette un puissant appas
À la supercherie
Vu l’éclat infini
Qu’il reçoit de ta plume après sa tromperie,
Chacun voudra tromper pour être ainsi puni ;
Et quoi qu’il en perde la vie,
On portera toujours envie
À l’heure qui suit son mauvais sort,
Puisqu’il ne vivrait plus s’il n’était ainsi mort.

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Publié dansPierre CorneillePoètes

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