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L’horloge arrêtéeMarceline Desbordes-Valmore

Horloge d’où s’élançait l’heure
Vibrante en passant dans l’or pur,
Comme l’oiseau qui chante ou pleure
Dans un arbre où son nid est sûr,
Ton haleine égale et sonore
Dans le froid cadran ne bat plus :
Tout s’éteintil comme l’aurore
Des beaux jours qu’à ton front j’ai lus ?

Elégies

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Publié dansMarceline Desbordes-ValmorePoètes

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