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À ma fille décédéeVictoire Babois

Ma fille ! … Je t’appelle, hélas ! Et tu n’es plus !
Loin du climat qui te vit naître,
Comme une tendre fleur, tu n’as fait que paraître.
Je viens graver ici des regrets superflus.
Ici sont renfermés, sous cette froide pierre,
Tes grâces, ta beauté, tes talents, tes vertus,
Et le cœur de ta mère.

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Publié dansPoètesVictoire Babois

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