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À Mlle Joséphine SauvageJacques Delille

(Qui avait dessiné le portrait de la sœur de Mme. Delille.)

Bénis soient tes crayons, ô toi, jeune beauté !
Qui de nos Rosalba suivant déjà les traces,
À mes yeux consolés retraces
Avec tant d’élégance et de fidélité,
Celle qui m’adoucit ma triste cécité :
C’est le portrait de la Bonté,
Dessiné par la main des Grâces.

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Publié dansJacques DelillePoètes

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