Aller directement au contenu

A vousFrederic Monneron

(extrait)

… Quand sur les champs du soir la brume étend ses voiles,
Lorsque, pour mieux rêver, la Nuit au vol errant,
Sur le pâle horizon détache en soupirant
Une ceinture d’or de sa robe d’étoiles ;

Lorsque le crépuscule entr’ouvre, aux bords lointains,
Du musical éther les portes nuageuses ;
Alors, avec les vents, les âmes voyageuses
Vont chercher d’autres cieux dam leurs vols incertains.

Lectures : 0
Publié dansFrederic MonneronPoètes

Soyez le premier à commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *