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C’était longtemps avant la guerrePaul-Jean Toulet

Sur la banquette en moleskine
Du sombre corridor,
Aux flonflons d’Offenbach s’endort
Une blanche Arlequine.

… Zo’ qui saute entre deux MMrs,
Nul falzar ne dérobe
Le double trésor sous sa robe
Qu’ont mûri d’autres cieux.

On soupe… on sort… Bauby pérore…
Dans ton regard couvert,
Faustine, rit un matin vert…
… Amour, divine aurore.

Contrerimes

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Publié dansPaul-Jean TouletPoètes

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