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Comme Verlaine sans raisonJacques Prevel

Comme Verlaine sans raison

Mon coeur est triste et se lamente

Ah ressembler au grand Villon

Etre un brigand, planter sa tente
Le soir courir les mauvais lieux

Et revenir à l’aube blanche

Hurlant un chant licencieux

Comme un cabotin sur les planches
Et puis pour soi, rien que pour soi

Ame de Clown et comédie

Etre l’unique, qui reçoit

Tous les sons de la mélodie.

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Publié dansJacques PrevelPoètes

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