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Dame des courantsLouise de Vilmorin

Peu m’importent vos noms Dame des courants

Seules vos mains comptent

Vos sourires au bord de vos mains

Sont les oiseaux sans lendemains

Que le vent emporte

Fiancés à la dérive

Qui frappez aux portes des rives

Vos écharpes sont d’herbes et de petits papiers.
1939

Lectures : 2
Publié dansLouise de VilmorinPoètes

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