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En dérive vers l’absoluJacques Prevel

En dérive vers l’absolu

il ne me reste qu’à enfreindre l’ordre

De toute justice

Pour me détacher sans consentement

De sa violence qui m’accable

J’ai vécu dans la confusion

Je suis mort de la confusion

Pour ma défense qu’aurai-je à dire

Mes forces se détruisent et me détruisent dans

l’égarement

Je suis un criminel

Qui n’a pas compris le geste simulé

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Publié dansJacques PrevelPoètes

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