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FuiteJules Supervielle

O
Poète qui fuis l’Afrique,
Sa discipline, ses amours,
Ne crains-tu pas en
Amérique
De regretter ces combles jours

Où parmi leurs sourires vastes
Se dressaient à ton cri de «
Go! »
Les fils et filles du
Congo
En pyramide de gymnastes?

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Publié dansJules SuperviellePoètes

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