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J’ai bu du rhumOdilon-Jean Perier

Joie ardente, corps nouveau
Hors des vagues de la danse
Vive enfin ta violence
Ton orgueil et tes sursauts !

Ah, mon plaisir ! Il te faut
Adorer avec silence,
Tout cet été qui s’élance
Qui s’épuise dans les eaux !

C’est le rôle de ma vie :
Miracle ! Je simplifie
Jusqu’aux songes de l’Éther,

Et d’une cime enflammée
Voici ma terre sacrée
Belle comme un oeil ouvert !

Notre mère la ville

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Publié dansOdilon-Jean PerierPoètes

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