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Je vois le monde à travers un abîmeJacques Prevel

Je vois le monde à travers un abîme où je tombe.

Aujourd’hui, tout est remis en question, ma vie est

menacée. Un ouragan s’est déchaîné. J’ai écrit ces

poèmes pour fixer les années tragiques. Quand la vie

avait encore une raison d’être. et que je traversais

Paris avec Artaud. Tout résonnait, la joie était présente

dans la douleur.

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Publié dansJacques PrevelPoètes

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