Séjour triste, asile champêtre,
Qu’un charme embellit à mes yeux,
Je vous fuis, pour jamais peut-être !
Recevez mes derniers adieux.
En vous quittant, mon cœur soupire.
Ah ! plus de chansons, plus d’amours.
Eléonore !… Oui, pour toujours
Près de toi je suspends ma lyre.
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