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L’ObliqueJean Tardieu

Dans un temps lisse, parfois grenu des pesanteurs s’acharnent.

Des lacunes rassurent par la facilité.

L’obstacle s’oublie, se perd : un rien le traverse.

L’oblique triomphe de l’équerre.

C’est le soudain rappel à l’autre espace qui n’est pas vu.

Jean Tardieu

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Publié dansJean TardieuPoètes

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