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Ma vie se confond avec le bruit que fait ta vieJacques Prevel

Ma vie se confond avec le bruit que fait ta vie

Toujours éternelle et brisée

Je ne suis que l’instrument peut-être

L’instrument sonore qui te répond

Et qui restait silencieux sans griffes et sans

désordre

Sans le visage décoloré du réel

Ta voix fragile tes mains jaunies au feu de l’angoisse

Ta silhouette détournée de son chemin

Et toujours à chercher dans la perte

Irrémédiable qui te concerne

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Publié dansJacques PrevelPoètes

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