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Ô poète, à quoi bon chercherPaul-Jean Toulet

Ô poète, à quoi bon chercher
Des mots pour son délire ?
Il n’y a qu’au bois de ta lyre
Que tu l’as su toucher.

Plus haut que toi, dans sa morphine,
Chante un noir séraphin.
Ma nourrice disait qu’Enfin
Est le mari d’Enfine.

Contrerimes

Publié dansPaul-Jean TouletPoètes

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