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Oh la toujours plus rase solitudeRene Char

Oh la toujours plus rase solitude 

Des larmes qui montent aux cimes. 

 

Quand se déclare la débâcle 

Et qu’un vieil aigle sans pouvoir 

Voit revenir son assurance, 

Le bonheur s’élance à son tour, 

À flanc d’abîme les rattrape. 

 

Chasseur rival, tu n’as rien appris, 

Toi qui sans hâte me dépasses 

Dans la mort que je contredis.

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Publié dansPoètesRene Char

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