Les sots sont un peuple nombreux,
Trouvant toutes choses faciles :
Il faut le leur passer, souvent ils sont heureux ;
Grand motif de se … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Les sots sont un peuple nombreux,
Trouvant toutes choses faciles :
Il faut le leur passer, souvent ils sont heureux ;
Grand motif de se … (Continuer)
Venez ce soir, m’amie, à la vesprée ;
Pendant qu’au bourg on danse la bourrée,
Vous passerez par la porte du clos,
Et je vous … (Continuer)
Si d’un mot échappé l’outrageuse rudesse
A pu blesser l’amour et sa délicatesse,
Immobile il gémit, songe à tout expier.
Sans honte, sans réserve, il … (Continuer)
Sonnet.
Je t’aime, en attendant mon éternelle épouse,
Celle qui doit venir à ma rencontre un jour,
Dans l’immuable éden, loin de l’ingrat séjour
Où … (Continuer)
VII.
Une nuit, — c’est toujours la nuit dans le tombeau, —
Il s’éveilla. Luisant comme un hideux flambeau,
D’étranges visions emplissaient sa paupière ; … (Continuer)
Je ne suis pas jaloux de ton passé, chérie,
Et même je t’en aime et t’en admire mieux.
Il montre ton grand cœur et la … (Continuer)
A Luc Dirtain
Il y a d’autres poèmes
Que je projetais d’écrire.
J’aurais pu peupler ce livre
De pauvres oiseaux sanglants
Aux yeux pleins d’horreur;… (Continuer)
Laisser un CommentaireA vous, troupe légère,
Qui d’aile passagère
Par le monde volez,
Et d’un sifflant murmure
L’ombrageuse verdure
Doucement ébranlez,
J’offre ces violettes,
Ces lis et … (Continuer)
Vous m’avez dit, tel soir, des paroles si belles
Que sans doute les fleurs, qui se penchaient vers nous,
Soudain nous ont aimés et que … (Continuer)
J’ai pour voisin et compagnon
Un vaste et puissant paysage
Qui change et luit comme un visage
Devant le seuil de ma maison.
Je vis … (Continuer)
Laisser un CommentaireIl pleure dans mon coeur
Comme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?
Ô bruit doux de … (Continuer)
Laisser un CommentaireEntrez tous dans la danse,
Jours tendres, jeunes mois,
Enlacez en cadence
Vos souffles à ma voix.
Mars, entre ! Je t’attrape,
Espiègle ! Vert … (Continuer)
Laisser un CommentaireLaissons le glaive à Rome et le stylet à Sparte,
Ne faisons pas saisir, trop pressés de punir,
Par le spectre Brutus le brigand Bonaparte.… (Continuer)
Et qu’importe d’où sont venus ceux qui s’en vont,
S’ils entendent toujours un cri profond
Au carrefour des doutes !
Mon corps est lourd, mon … (Continuer)
L’autre matin, sous la feuillée,
De soleil rose ensoleillée,
Je rêvais à toi, – tu passas !
Et je vis à ta boutonnière,
Penchant ses … (Continuer)
Laisser un CommentaireSouvent, dans mes accords, ardents, enthousiastes,
Des grandes nations se déroulaient les fastes,
Ou, détournant mes yeux de ce globe terni,
Je déployais mon vol … (Continuer)