Comme si l’autre rive n’était pas une femme
comme si l’autre rive n’était pas notre victoire
comme si l’autre rive n’était pas tous les secrets … (Continuer)
Laisser un CommentaireComme si l’autre rive n’était pas une femme
comme si l’autre rive n’était pas notre victoire
comme si l’autre rive n’était pas tous les secrets … (Continuer)
Laisser un CommentaireSur la corde tendue un jeune voltigeur
Apprenait à danser ; et déjà son adresse,
Ses tours de force, de souplesse,
Faisaient venir maint spectateur. … (Continuer)
Ce soir, sur le chemin sonore du coteau,
Nous menons en rêvant notre amour qui frissonne
D’une obscure tiédeur sous le même manteau.
Ô crépuscule … (Continuer)
Vous qui retournez du Cathai
Par les Messageries,
Quand vous berçaient à leurs féeries
L’opium ou le thé,
Dans un palais d’aventurine
Où se mourait … (Continuer)
Gueule de bois
L’été trop vert
Nous sommes perdus
Face à ces montagnes
Qui nous crachent au visage
L’orgueil insupportable d’un autre peuple
Alors que … (Continuer)
SCARRON, ton sort bizarre est-il à déplorer ?
Souffrant comme un damné, tu vis et peux écrire ;
On ne peut, te voyant, s’empêcher de … (Continuer)
Mets les mains sur mon front où tout l’humain orage
Lutte comme un oiseau,
Et perpétue, ainsi qu’au creux des coquillages,
Le tumulte des eaux.… (Continuer)
Hélas ! la chimère s’envole
Et l’espoir ne m’est plus permis ;
Mais je défends qu’on me console.
Ne me plaignez pas, mes amis.
J’aime … (Continuer)
Ô Vie ! aurais-je pu tendre un cœur plus aride
Vers l’amour dont tu fais l’étoile qui nous guide,
Vers l’amour nécessaire aux résurrections ?… (Continuer)
Prions ! voici l’ombre sereine.
Vers toi, grand Dieu, nos yeux et nos bras sont levés.
Ceux qui t’offrent ici leurs larmes et leur chaîne … (Continuer)
à
Hélène
Locoge
J’étais venu pour planter ma présence
comme un stylet
dans la poitrine du malheur
j’étais venu
pour parfumer la dentelle des fées… (Continuer)
Laisser un CommentaireToujours le malheureux t’appelle,
Ô Nuit, favorable aux chagrins !
Viens donc, et porte sur ton aile
L’oubli des perfides humains.
Voile ma douleur solitaire … (Continuer)
Laisser un CommentaireGeler dedans les feux, et brûler dans la glace,
Ne pouvoir à mes yeux accorder le sommeil,
Vivre de désespoir attendant le cercueil,
Effroyable porter … (Continuer)
Ouvrez, les gens, ouvrez la porte,
je frappe au seuil et à l’auvent,
ouvrez, les gens, je suis le vent
qui s’habille de feuilles mortes.… (Continuer)
De l’eau qui tombe goutte à goutte,
Chrysa, je n’entends plus le bruit :
Le ciel est clair, l’ouragan fuit ;
L’oiseau joue au bord … (Continuer)
Au milieu des terrains désertés parmi la suie des soies brûlées auprès de la bourse des valeurs non loin des piliers du crépuscule sous le … (Continuer)
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