Entrez, mes souvenirs, ouvrez ma solitude !
Le monde m’a troublée ; elle aussi me fait peur.
Que d’orages encore et que d’inquiétude
Avant que … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Entrez, mes souvenirs, ouvrez ma solitude !
Le monde m’a troublée ; elle aussi me fait peur.
Que d’orages encore et que d’inquiétude
Avant que … (Continuer)
Les rivages à pic descendent à la mer.
Leurs sommets, rafraîchis par un zéphyr amer,
Portent tout un fouillis de grands bois ou d’arbustes ;… (Continuer)
Madonnina gentile
J’ai mis sous
Votre protection mon amour.
Sous votre manteau qu’il repose, et dans votre ombre
comme
Votre
Poète,
Cornante
Eginetico, dans une … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand l’enfant nous regarde, on sent Dieu nous sonder ;
Quand il pleure, j’entends le tonnerre gronder,
Car penser c’est entendre, et le visionnaire
Est … (Continuer)
Le chien torrent se jette en un joyeux élan ébrouant son poil pris gai briard fantastique le crin des gouttes d’eau s’écoule en tournoyant tout … (Continuer)
Laisser un CommentaireIroquoise et lancinante révolte,
Sur ta vague tangue mon langage, ta
Bastille.
—
Gêné, responsable de l’appel perdu, ravalé comme la
salive par la mer … (Continuer)
Laisser un CommentaireJ’ai des saisons dans le sang
J’ai le battement des mers
J’ai le tassement des montagnes
J’ai les tensions de l’orage
La rémission des vallées… (Continuer)
Sonnet.
Vrai Dieu, si quelque part dans un monde écarté
J’eusse grandi tout seul, nourri par une chèvre,
Sans maîtres, bégayant du cœur et de … (Continuer)
J’ai naguère habité le meilleur des châteaux
Dans le plus fin pays d’eau vive et de coteaux :
Quatre tours s’élevaient sur le front d’autant … (Continuer)
Le jardin ratissé, calme, offrait devant la haute maison ses pelouses vertes et ses allées géométriques aux jeux des petites filles. Quand je dis offrait, … (Continuer)
Laisser un CommentaireBien, je l’ay dit, je le confesse,
Que nul ne te pourroit aimer
Autant que je t’aime, Maistresse,
Sçachant mieux qu’autre t’estimer :
Car d’autant … (Continuer)
Tout ça, mon vieux
Valerio, c’est très joli,
Surtout l’immobilité palpitante sous les longs passages
de cieux,
Et ce voyage d’été à l’ombre de la … (Continuer)
Laisser un CommentaireCelui qui n’a point vu le printemps gracieux
Quand il étale au ciel sa richesse prisée,
Remplissant l’air d’odeurs, les herbes de rosée,
Les coeurs … (Continuer)
L’enfant chantait; la mère au lit, exténuée,
Agonisait, beau front dans l’ombre se penchant ;
La mort audessus d’elle errait dans la nuée ;
Et … (Continuer)
Le ciel pâlit, la terre humide et reposée
Respire. Messager du matin, le vent pur
Agite faiblement la vigne sur le mur
Et d’une main … (Continuer)
Parmi la chaleur accablante
Dont nous torréfia l’été,
Voici se glisser, encor lente
Et timide, à la vérité,
Sur les eaux et parmi les feuilles, … (Continuer)
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