C’est le roi de la plaine et des gras pâturages.
Plein d’une force lente, à travers les herbages
Il guide en mugissant ses compagnons pourprés… (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
C’est le roi de la plaine et des gras pâturages.
Plein d’une force lente, à travers les herbages
Il guide en mugissant ses compagnons pourprés… (Continuer)
Avant que vous comptiez dix
tout change : le vent ôte
cette clarté des hautes
tiges de maïs,
pour la jeter ailleurs ;
elle vole, … (Continuer)
I
Hautes falaises contre les vents glacés du pôle
Au centre de fertiles prairies
Rennes élans bœufs musqués
Les renards bleus les castors
Ruisseaux poissonneux… (Continuer)
« À peine encor, le couchant brille,
Un peu, là-bas ;
La nuit s’avance, et notre fille
Ne revient pas ;
Femme, dis-moi ; dis-moi,… (Continuer)
Et cette femme était fort belle.
Rois, chap. XI, v. 2.
Comme elle court ! voyez : par les poudreux sentiers,
Par les gazons tout … (Continuer)
Pendant que le marin, qui calcule et qui doute
Demande son chemin aux constellations ;
Pendant que le berger, l’oeil plein de visions,
Cherche au … (Continuer)
Plus qu’aux bords Aetëans le brave fils d’Eson,
Qui par enchantement conquit la riche laine,
Des dents d’un vieux serpent ensemençant la plaine
N’engendra de … (Continuer)
Paysage magnifique
Verdoyantes forêts de sapins de hêtres de châtaigniers
coupées de florissantes cultures de blé d’avoine de
sarrasin de chanvre
Tout respire l’abondance
Le … (Continuer)
(Imitée d’Uhland)
Oh ! quel doux chant m’éveille ?
— Près de ton lit je veille,
Ma fille ! et n’entends rien…
Rendors-toi, c’est chimère … (Continuer)
Par un mobilisé du Morbihan.
Moral jeunes troupes excellent.
(Off.)
Qui nous avait levés dans le Mois-noir – Novembre –
Et parqués comme des troupeaux… (Continuer)
<< Tu nous rends nos derniers signaux;
Le long du bord le câble crie;
L’ancre s’élève et sort des eaux;
La voile s’ouvre; adieu, patrie!… (Continuer)
C’est un riant Éden, un splendide Avalon,
Que le grand Nord féerique a voilé dans sa brume,
Et les chênes géants, l’ombre du frais vallon,… (Continuer)
Laisser un CommentaireLa mort vient dégager de la vile matière
Notre esprit, souffle de la pur divinité,
Et l’ombre des tombeaux nous cache une lumière
Dont nos … (Continuer)
Il s’est levé le jour qui vient
Et il me réchauffe le coeur
Et il sourit dans sa splendeur
C’est comme s’il me tendait la … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe me suis installé pour y mourir dans une image.
Une chambre étroite
et sa fenêtre
protégée
par de très vieux chênes-lièges.
Le chemin les … (Continuer)
Yeux accrochés à leur haut pédoncule hypertrophié yeux
d’anacardier et pus de tannin sur moi braqués comme un
regard de mauvais fruit comme des mouches … (Continuer)
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