Omettez l’algue pourpre, les belles femmes, leurs buissons bleus sur le sable.
Omettez le tonnerre des bielles quand rougit le chaton périssable.
Omettez le glaçon … (Continuer)
Laisser un CommentaireOmettez l’algue pourpre, les belles femmes, leurs buissons bleus sur le sable.
Omettez le tonnerre des bielles quand rougit le chaton périssable.
Omettez le glaçon … (Continuer)
Laisser un CommentaireCoccinelle vole
Vat’en à l’école
Prends donc tes matines
Va à la doctrine.
Comptines… (Continuer)
Laisser un CommentaireChanson
J’entends la triste Philomèle
Qui chante la nuit et le jour :
Mais je ne puis faire comme elle
Qui dit librement son amour.… (Continuer)
J’ai vu ton ami, j’ai vu ton amie ;
Mérante et Rosa ; vous n’étiez point trois.
Fils, ils ont produit une épidémie
De baisers … (Continuer)
Comme un père en ses bras tient une enfant bercée
Et doucement la serre, et, loin des curieux,
S’arrête au coin d’un mur pour lui … (Continuer)
Fleurs promises, fleurs tenues dans tes bras,
Fleurs sorties des parenthèses d’un pas,
Qui t’apportait ces fleurs l’hiver
Saupoudrées du sable des mers ?
Sable … (Continuer)
Laisser un CommentaireHa ! coeur que j’aimais tant, et qui m’as tant aimée,
Tu mérites mon coeur, un si riche cercueil :
Mais pour montrer que moi … (Continuer)
Sonnet.
Déjà cette prairie en commençant l’hiver
Étendait son tapis d’herbe courte et fripée,
Elle languit encor, de plus en plus râpée,
D’un gris toujours … (Continuer)
Sur les murs de cette salle, où le festin a lieu les traces de ta vie modeste et fade.
Mais aujourd’hui les paroles sont plus … (Continuer)
Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans.
Ton regard dit : « Matin, » et ton front dit : « Printemps. »
Il semble … (Continuer)
Audacieusement sise à cette hauteur,
Cette maison proprette et d’une vigne ornée
Est au milieu d’un tel déploiement de splendeur
Que l’on devrait, il semble, … (Continuer)
Pâle matin de Février
Couleur de tourterelle
Viens, apaise notre querelle,
Je suis las de crier ;
Las d’avoir fait saigner pour elle
Plus d’un … (Continuer)
Un affreux chat z-en casquette
courait après les souris
Un affreux rat z-en liquetto
grignotait du riz et du riz
Auquel des deux la grande … (Continuer)
Laisser un CommentaireToutes les lampes sont éteintes.
Comment voulez-vous que je voie
Combien vous me montrez de doigts ?
Dans la nuit fleurit la jacinthe,
Il fait … (Continuer)
Laisser un CommentaireJe ris
Je ris
Tu ris
Nous rions
Plus rien ne compte
Sauf ce rire que nous aimons
Il faut savoir être bête et content… (Continuer)
Portrait de la divine Essence,
Incomparable bâtiment,
Où l’Eternel, en le formant,
Déploya sa toutepuissance ;
Simple être, par ton existence,
Plante, par ton accroissement,… (Continuer)