Les cimes dispersées les oiseaux du soir
Au chevet de la rue
Les échos féminins des baisers
Et dans les abris du désir
La grande … (Continuer)
Les cimes dispersées les oiseaux du soir
Au chevet de la rue
Les échos féminins des baisers
Et dans les abris du désir
La grande … (Continuer)
Chaque fleur dit un mot du livre de nature:
La rose est à l’amour et fête la beauté,
La violette exhale une âme aimable et … (Continuer)
Rien n’est plus différent que le somme et la mort,
Combien qu’ils soient issus de même parentage ;
L’un profite beaucoup, l’autre fait grand dommage,… (Continuer)
Marie, que je sers en trop cruel destin,
Quand d’un baiser d’amour votre bouche me baise,
Je suis tout éperdu, tant le coeur me bat … (Continuer)
Confort et farniente ! toute une poésie
De calme et de bienêtre, à donner fantaisie
De s’en aller làbas être Flamand ; d’avoir
La pipe … (Continuer)
Le monde est mort où je vivais
Il ne reste que la moisson déjà fauchée du souvenir
Morte la promenade et l’habituel espace de mon … (Continuer)
Laisser un CommentaireQui veut avoir vue sur la vision met son œil dans sa poche
Hors du champ lumineux des êtres et des choses rien ne demeure, … (Continuer)
Laisser un CommentairePenchée, elle écoutait dormir l’enfant vermeil.
Victor Hugo.
C’est le matin, l’enfant, la paupière mi-close,
Sur le sein maternel paisiblement repose.
« — Chut ! … (Continuer)
Laisser un CommentairePars, puisque la gloire t’appelle !
Mais lorsque tu t’enivres d’elle,
Oh ! du moins, souviens-toi de moi !
Quand la louange autour de toi… (Continuer)
A l’horizon monte une nue,
Sculptant sa forme dans l’azur :
On dirait une vierge nue
Emergeant d’un lac au flot pur.
Debout dans sa … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe russe est froid, presque cruel,
L’allemand chuinte ses consonnes ;
Italie, en vain tu résonnes
De ton baiser perpétuel.
Dans l’anglais il y a … (Continuer)
Laisser un CommentaireBonheur si doux de mon enfance,
Bonheur plus doux de mon printemps,
Je n’ai plus que la souvenance
De vos courts et joyeux instants.
Triste, … (Continuer)
Laisser un Commentaire23h54.
Un bâton de réglisse ancré entre les dents,
Le béton d’un quartier battant sous ma semelle,
L’odeur du chèvrefeuille exprime dans mon chant
Le … (Continuer)
Trouant de tes rayons sans nombre
Le feuillage léger,
Soleil,
Tu promènes, comme un berger,
Le tranquille troupeau des ombres
Dans les jardins et les … (Continuer)
Par ce dizain clairement je m’accuse
De ne savoir tes vertus honorer,
Fors du vouloir, qui est bien maigre excuse :
Mais qui pourrait par … (Continuer)