C’est la forêt sauvage où tout un monde grouille,
Où l’obscurité sombre et vaste se verrouille
Et fait dans la nuit noire une plus noire … (Continuer)
Laisser un CommentaireC’est la forêt sauvage où tout un monde grouille,
Où l’obscurité sombre et vaste se verrouille
Et fait dans la nuit noire une plus noire … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa rousse Pulchérie ayant quitté la ville,
Errait folâtrement dans les bois de Chaville,
Très pimpante, avec un de ses plus chers amants.
Et tous … (Continuer)
Laisser un CommentaireSonnet CXIX.
Brusquet à son retour vous racontera, Sire,
De ces rouges prélats la pompeuse apparence,
Leurs mules, leurs habits, leur longue révérence,
Qui se … (Continuer)
La couleur que décompose la nuit
La table où ils se sont assis
Le verre en cheminée
La lampe est un cœur qui se vide… (Continuer)
(Pour le premier ballet de monseigneur le
Dauphin, dansé au mois de janvier 1610.)
Voici de ton État la plus grande merveille,
Ce fils où … (Continuer)
Belle « à damner les saints », à troubler sous l’aumusse
Un vieux juge ! Elle marche impérialement.
Elle parle — et ses dents font … (Continuer)
Le vieux père en tremblant ébranlait l’univers.
Isis, la mère enfin se leva sur sa couche,
Fit un geste de haine à son époux farouche,… (Continuer)
Yeux, lacs avec ma simple ivresse de renaître
Autre que l’histrion qui du geste évoquais
Comme plume la suie ignoble des quinquets,
J’ai troué dans … (Continuer)
Pour me plaindre ou m’aimer je ne cherche personne ;
J’ai planté l’arbre amer dont la sève empoisonne.
Je savais, je devais savoir quel fruit … (Continuer)
VII.
Toi qui bats de ton flux fidèle
La roche où j’ai ployé mon aile,
Vaincu, mais non pas abattu,
Gouffre où l’air joue, où … (Continuer)
Un détour de la route et ce
Basento funèbre,
Dans ce pays stérile, âpre, où, sur des collines,
Au loin, s’étendent de noires forêts pourrissantes.… (Continuer)
Sonnet.
À mesure que l’on s’élève
Au-dessus des mornes terrains,
On sent le poids de ses chagrins
Se désalourdir comme en rêve.
Pour l’âme, alors, … (Continuer)
Laisser un CommentairePrintemps, que me veuxtu ? pourquoi ce doux sourire,
Ces fleurs dans tes cheveux et ces boutons naissants ?
Pourquoi dans les bosquets cette voix … (Continuer)
Les roses jaunes ceignent les troncs
Des grands platanes, dans le jardin
Où c’est comme un tintement soudain
D’eau qui s’égoutte en les bassins ronds.… (Continuer)
Toute initiale du monde
et son secret
et son oiseau
dans la pointe de mon couteau
La nuit la nuit
la lourde nuit silencieuse
la … (Continuer)
Laisser un CommentaireSilence au camp ! La vierge est prisonnière ;
Par un injuste arrêt Bedfort croit la flétrir :
Jeune encore, elle touche à son heure dernière…
Silence au … (Continuer)