Sur la terre où sonne l’heure,
Tout pleure, ah ! mon Dieu ! tout pleure.
L’orgue sous le sombre arceau,
Le pauvre offrant sa neuvaine,… (Continuer)
Sur la terre où sonne l’heure,
Tout pleure, ah ! mon Dieu ! tout pleure.
L’orgue sous le sombre arceau,
Le pauvre offrant sa neuvaine,… (Continuer)
L’adolescence où l’on chavire
Voit naître les premiers tourments ;
Je n’ai jamais osé vous dire
Mes peurs, mes joies, mes sentiments.
Sans le vouloir … (Continuer)
Laisser un CommentaireSans doute parce qu’elle se donne parfois les dehors aimables de l’historiette, ou qu’elle affecte de se fredonner sur la musique frivole de la chansonnette, … (Continuer)
Laisser un CommentaireElle est charmante, elle est aussi brune que blonde.
Vous la reconnaîtrez, perfide comme l’onde,
A ses cheveux changeant de tons et de parfums.
Lorsque … (Continuer)
A Laure Bernard.
C’est l’été. Le soleil darde
Ses rayons intarissables
Sur l’étranger qui s’attarde
Au milieu des vastes sables.
Comme une liqueur subtile
Baignant … (Continuer)
à Henri Heinemann
Le lointain cache son ennui
Sous une auréole sans gloire,
Lueur face à la pensée noire
Mais qui retombe dans la nuit.… (Continuer)
Au tournant du verbe
accablé de masques
dont l’être intermittent
parfois surgit
lampe éphémère
pour que renaissent
les ténèbres
en vain refoulées
parfois plonge à … (Continuer)
IV.
Un grand houx, de forme incivile,
Du haut de sa fauve beauté,
Regardait mon habit de ville ;
Il était fleuri, moi crotté ;… (Continuer)
À l’enseigne de «La grenouille rouge»
guinchent les garçons et les filles du faubourg
dans la fumée bleue d’un cancer futur
et des relents de … (Continuer)
Laisser un CommentaireEt te donner ne suffit plus, tu te prodigues :
L’élan qui t’emporte à nous aimer plus fort, toujours,
Bondit et rebondit, sans cesse et … (Continuer)
Voltaire, ombre auguste et suprême,
Roi des madrigaux à la crème
Des vermillons et des paniers
Assis au pied de ta statue,
Je me disais … (Continuer)
À mi-carême, en carnaval,
On met un masque de velours,
Où va le masque après le bal ?
Il vole à la tombée du jour.… (Continuer)
Laisser un CommentaireTandis que la Nuit monte ainsi qu’une marée
Sur les grèves du ciel silencieusement,
Emplis tes yeux profonds de sa splendeur sacrée
Et ton cœur … (Continuer)
Las ! Mort, qui t’a fait si hardie
De prendre la noble Princesse
Qui était mon confort, ma vie,
Mon bien, mon plaisir, ma richesse … (Continuer)
Ah ! je les reconnais, et mon coeur se réveille.
Ô sons ! ô douces voix chères à mon oreille !
Ô mes Muses, c’est … (Continuer)
La servante au grand coeur dont vous étiez jalouse,
Et qui dort son sommeil sous une humble pelouse,
Nous devrions pourtant lui porter quelques fleurs.… (Continuer)