XLI.
Cette Reine qui n’eût qu’un château pour retraite,
Prisonnière çà bas, et Princesse là haut,
Sentit un vent d’acier qui lui trancha la tête,… (Continuer)
Laisser un CommentaireXLI.
Cette Reine qui n’eût qu’un château pour retraite,
Prisonnière çà bas, et Princesse là haut,
Sentit un vent d’acier qui lui trancha la tête,… (Continuer)
Laisser un CommentaireLa voix qui sous les feuilles profondes chantait là,
Cette nuit, qu’une inquiète et tendre âme exhala,
Voilant de son sourire sa frêle grâce atteinte,… (Continuer)
Amour, adieu, je prends congé de toi
Amour, adieu, je m’en vais, je te laisse,
Je ne veux plus aimer cette maîtresse
Qui m’a tenu … (Continuer)
Croyez-moi, l’autre monde est un monde inconnu,
Où s’égare notre pensée.
D’y voyager sans fruit la mienne s’est lassée :
Pour toujours j’en suis revenu.… (Continuer)
Énumérer à perdre haleine toute chose qui n’étant pas Ne peut émettre pour qu’il soit le Non-Émis qui la fait être Pour qu’à son tour … (Continuer)
Laisser un CommentaireOui, sans peine, au travers des sophismes de Claude,
Arnauld, des novateurs tu découvres la fraude,
Et romps de leurs erreurs les filets captieux :… (Continuer)
Seigneur, Seigneur ! Se peut-il que l’on meure ?
Quittez enfin cette étroite demeure,
Venez à nous !
Christ, Fils de Dieu, né du sein … (Continuer)
Comme le vent fantastique
Le vent qui prend sa forme aux herbes balayées
Ta voix résonne et me confond
Et sa clameur proclame tout ce … (Continuer)
Laisser un CommentaireLes deux amis à barbe grise,
La jambe croisée, en fumant,
En sont arrivés doucement,
La dernière nouvelle apprise,
À parler des choses d’antan.
Du … (Continuer)
Laisser un CommentaireÔ mon Seigneur Jésus, enfance vénérable,
Je vous aime et vous crains petit et misérable,
Car vous êtes le fils de l’amour adorable.
Ô mon … (Continuer)
Laisser un CommentaireLe long du fleuve jaune, on ferait bien des lieues,
Avant de rencontrer un mandarin pareil.
Il fume l’opium, au coucher du soleil,
Sur sa … (Continuer)
Égaronsnous, mon âme, en ces cryptes funestes,
Où la douleur, par des crimes, se définit,
Où chaque dalle, au long du mur, atteste
Qu’un meurtre … (Continuer)
Non… Mon coeur te sent là, Petite,
Qui dors pour me laisser plus vite
Passer ma nuit, si longue encor,
Sur le pavé comme un … (Continuer)
Tout est fini : la nuit surgit, le malheur règne.
Le toit s’est écroulé sur l’hôte confiant,
Et près du moribond immobile et qui saigne… (Continuer)
Là, nous nous attardions aux nocturnes tombées,
Cependant qu’alentour un vol de scarabées
Nous éblouissait d’or sous les lueurs plombées,
De grands chevaux de pourpre … (Continuer)
Laisser un CommentaireBon jour, bon an et bonne étrenne
Et dieu gard’ de mal mes mignons.
D’où venezvous ? qui vous amène ?
Bon jour, bon an … (Continuer)