Jamais jamais je ne pourrai dormir tranquille aussi
longtemps que d’autres n’auront pas le sommeil et l’abri ni jamais vivre de bon cœur tant qu’il … (Continuer)
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longtemps que d’autres n’auront pas le sommeil et l’abri ni jamais vivre de bon cœur tant qu’il … (Continuer)
Laisser un CommentaireLa mer est plus belle
Que les cathédrales,
Nourrice fidèle,
Berceuse de râles,
La mer sur qui prie
La Vierge Marie !
Elle a tous … (Continuer)
Laisser un CommentaireQuand l’ardente saison fait aimer les ruisseaux,
A l’heure où vers le soir, cherchant le frais des eaux,
La belle nonchalante à l’ombre se promène,… (Continuer)
Les injustices des pervers
Servent souvent d’excuse aux nôtres.
Telle est la loi de l’Univers :
Si tu veux qu’on t’épargne, épargne aussi les autres.… (Continuer)
Si j’étais la plus belle
Comme la plus fidèle,
Je le serais pour toi !
Si j’étais souveraine,
Le roi de cette reine,
Tu le … (Continuer)
Les chansons que je fais, qu’est-ce qui les a faites ?…
Souvent il m’en arrive une au plus noir de moi…
Je ne sais pas … (Continuer)
Laisser un CommentaireVoici que la saison décline,
L’ombre grandit, l’azur décroît,
Le vent fraîchit sur la colline,
L’oiseau frissonne, l’herbe a froid.
Août contre septembre lutte ;… (Continuer)
Laisser un CommentaireQui qu’en veut mes philantropes.
De mes renonculacées.
Qui veut de ma fleur d’hysope
Et qui veut de mes pensées ?
Non, trop tard, jeune … (Continuer)
Enfin le vent plus libre passe
La pointe fléchit sur sa trace
Une vague s’efface plus loin
Sur le champ le plan monte
Le ciel … (Continuer)
Fable X, Livre III.
« Enfin j’ai trouvé le repos ! »
Disait une huître de Marène.
« Fidèle au nœud qui nous enchaîne,
Ce … (Continuer)
Qu’on parle mal ou bien du fameux cardinal,
Ma prose ni mes vers n’en diront jamais rien :
Il m’a fait trop de bien pour … (Continuer)
Rêvant aux métamorphoses
Que les dieux faisaient jadis :
« Belles se changeaient en roses,
Disait l’aimable Doris.
Heureux temps pour un cœur tendre !… (Continuer)
J’avais cru jusqu’ici bien connaître l’amour :
Je me trompais, Clymène ; et ce n’est que d’un jour
Que je sais à quel point peuvent … (Continuer)
… Sois ton bourreau toimême ;
N’abandonne le soin de te martyriser
A personne, jamais. Donne ton seul baiser
Au désespoir ; déchaîne en toi … (Continuer)
Qui suis-je moi qui suis sorti
de la tombe où je t’attendais
moins une jambe que je n’ai
pas réussi à remplacer
avant de repartir … (Continuer)
Laisser un CommentaireOn descendrait, si vous l’osiez,
D’en haut de la terrasse,
Jusques au seuil, où s’embarrasse
Le pas dans les rosiers.
D’un martin pêcheur qui s’élance… (Continuer)
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