Si de la mort telle était la puissance
Que du regret qui m’est venu saisi r;
Ou qu’elle fût sous mon obéissance
Pour satisfaire à … (Continuer)
Découvrez la richesse de la poésie française
Si de la mort telle était la puissance
Que du regret qui m’est venu saisi r;
Ou qu’elle fût sous mon obéissance
Pour satisfaire à … (Continuer)
Soirs de stérilité qui font l’âme plus sèche
Qu’une route où le vent de décembre a soufflé !
Soirs où sous la douleur âcre le … (Continuer)
C’était un grand vieillard à chevelure blanche.
Il portait haut son front, neigeux comme les fleurs
D’avril; et, plus profonds que ceux des oiseleurs,
Ses … (Continuer)
Laisser un CommentaireCe qui la peut guérir, cette enfant le repousse.
« Oui, je l’aime, et j’en souffre, et ma douleur m’est douce,
Dit-elle, et j’en veux … (Continuer)
I
Des buissons lumineux fusaient comme des gerbes ;
Mille insectes, tels des prismes, vibraient dans l’air ;
Le vent jouait avec l’ombre des lilas … (Continuer)
Je mise sur ces barques Échappant aux moiteurs
Cet élan de l’éclair
Hors du complot des brumes
Ces nœuds de l’ombre
Dissous par la parole… (Continuer)
Comme le marinier, que le cruel orage
A longtemps agité dessus la haute mer,
Ayant finalement à force de ramer
Garanti son vaisseau du danger … (Continuer)
Ce temps est si sévère
Qu’on n’ose pas
Remplir deux fois son verre
Dans un repas,
Ni céder à l’ivresse
De son désir,
Ni chanter … (Continuer)
Laisser un CommentaireVents, souffles du zénith obscur et tutélaire,
N’éveillerez-vous pas quelque immense colère
Là-haut, dans le ciel sombre, en faveur des humains ?
Puisque deux nations … (Continuer)
Comme on voit en été une bruyante nue
Que le roide Aquilon va parmi l’air roulant,
Pleine de tous côtés se crever grommelant,
Et vomir … (Continuer)
Bonne chance à ta coquille
De noix, petit marinier ;
Bonne chance à ta béquille.
Touriste au pays minier.
El chance à l’enfant dernier.
Fils … (Continuer)
Laisser un CommentaireCe grand Amour qui au beau de ma dame,
De mon esprit les yeux va conduisant,
Est un Soleil, chauld, clair et reluisant
C’est proprement … (Continuer)
D’un brillant espoir
L’âme était parée.
Lumière et pouvoir.
O marche sacrée.
Des oiseaux luisants
Volèrent, chantèrent ;
Le pas militant
Désirait la terre.
La … (Continuer)
Maint homme qui m’entend, lors qu’ainsi je la vante,
N’ayant oncq rien pareil en nulle autre esprouvé,
Pense, ce que j’en dis, que je l’aye … (Continuer)
Si la vertu, qui est de nature immortelle,
Comme immortelles sont les semences des cieux,
Ainsi qu’à nos esprits, se montrait à nos yeux,
Et … (Continuer)
Les poètes ont vu dans le monde infernal
Des âmes qui des dieux attendaient le signal
Pour vivre de la vie humaine,
Acteurs muets encore, … (Continuer)